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Son corps était celui d’un homme nu et de couleur verte, mais sa tête était digne d’un cauchemar démentiel. Bien trop large pour un corps humain, elle n’en avait aucun des attributs. Conan resta immobile, fixant du regard les grandes oreilles évasées, la trompe recourbée et, de chaque côté de celle-ci, les défenses blanches à l’extrémité desquelles étaient fichées deux voules dorées. Ses yeux étaient clos, comme si elle dormait.
C’était donc de cela que venait le nom de la Tour de l’Éléphant, car la tête de la chose ressemblait fortement à celle des bêtes décrites par le vagabond shémite. C’était là le dieu de Yara…
Robert E. Howard, La tour de l’éléphant.
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